Les "tribulations" de la rue des Primevères

LE PARC KRUGER : à la poursuite des "big five"

Grand moment d'émotion le matin, lors de la visite de l'école George Mauhle.

Malgré l'extrême pauvreté de certaines familles (l'école n'est pas gratuite, il faut payer 5€ par an ...), tous les enfants sont accueillis et reçoivent un repas, qui est pour certains le seul de la journée.

Avant de nous présenter un petit spectacle, les enfants ont chanté l'hymne national ...

... et nous ont demandé de chanter le nôtre : l'émotion était à son comble. C'était une belle leçon de civisme.


sur cette dernière photo vous reconnaitrez la "danse des bottes" des mineurs noirs.

Dans la foulée le Parc Kruger.
Immense parc de 20000 km2, où malgré le beau temps revenu, nous avons eu du mal à voir les animaux. Mais nos yeux aguerris en ont débusqué quelques-uns.





Cette journée au parc a été décevante et sur les 4,5 km de piste qui nous ont mené dans la réserve privée de Kapama, nous avons vu plus d'animaux.
Celà promet pour pour demain et nous avons hâte d'y être.

LE ZOULOULAND : Hluhluwe et Ste Lucie, le Swaziland
La recherche d'animaux dans la végétation, le froid et la pluie, n'est pas une mince affaire. Mais nous avons vu nos premiers rhinocéros et éléphants.



Les hippopotames et autres oiseaux aquatiques nous ont accompagnés lors de la croisière ornithologique sur l'estuaire de Sainte Lucie, mais les crocodiles sont restés discrets.

(commande spéciale pour quelqu'un que nous aimons très fort)

La traversée de la frontière avec le Swaziland est un peu folklorique. La route vers la capitale chemine au pied de hautes montagnes verdoyantes, et de çi de là quelques cases entre les champs de maïs et de canne à sucre ou plantation d'ananas.

Un art hors du commun est apparu au Swaziland : la fabrication de bougies décoratives ; les artistes locaux font avec la cire, ce que font nos verriers avec la silice.

LE CAP : la route des baleines

Après la terrible journée d'hier, aujourd'hui c'est un jour de détente et, oh surprise, le soleil est au rendez-vous.
Après avoir longé la côte

une petite promenade dans le National Botanical Garden Harold Porter



Arrivée à Hermanus où tout le monde était sur le pont pour la chasse à la baleine.
Elles ont été mitraillées des centaines de fois, mais heureusement pour elles, ce n'était que par des appareils photos.


et c'est Gérard de Balgau qui a réussi la meilleure


Le séjour à Cape Town est terminé et l'Afrique du Sud est un pays aux multiples facettes et un mélange racial, c'est vrai. Mais c'est surtout un pays où la pauvreté extrême côtoie la richesse insolente ; les bidonvilles des exclus ceux des classes moyennes construits en dur, les maisons individuelles des gens plus aisés et les villas en front de mer des privilégiés.
La violence on ne la voit pas, mais on la sent à travers les murs avec barbelés et électrification des lotissements.

La prochaine ouverture viendra peut-être de la coupe du monde de foot-ball dont l'Afrique du Sud sera le pays organisateur.

Des chantiers de construction sont ouverts de partout au Cap et la fièvre de l'évènement a gagné toute la ville.

LE CAP : la péninsule du Cap

Décidément le mauvais temps nous poursuit.

mais heureusement le guide est sympathique

Par Chapman's Peak, la route de la corniche fermée depuis 2 ans mais réouverte en notre faveur, nous arrivons à Boulder's Beach où vit une colonie de 3000 pingouins africains.

Découverte du point mythique balayé par tous les vents et espéré par tous les navigateurs, à la pointe de l'Afrique : le Cap de Bonne-Espérance.

Après l'océan démonté et les rochers, un peu de calmes et des couleurs dans les allées du Kirstenbosch Botanical Gardens.
Dans les fymbos, parmi les ericas, pelargoniums et autre plantes rares, les protéas, emblème national, se présentent sous différentes formes et couleurs.

Après une ultime pensée pour les absents, la fièvre du voyage nous a repris !

FRANCFORT : L'aéroport

La première journée, celle qui est dédiée aux transferts, est toujours la plus longue.
Mais heureusement il y a le blog ...

... pour passer le temps !!!

Pas encore revenus d'Afrique du Sud, que déjà se prépare le prochain voyage.
Un rêve de toujours de Monique : l'Argentine et Ushuaia.

JUILLET 2009 L'Olténie



Dimanche, 12 juillet

TIRGU-JIU : "la patrie de Brancusi''

Pour terminer le séjour, dans le style "nostalgie", une journée en montagne a été programmée à Runca. Nous y avions déjà fait un petit séjour lors de nos visites précédentes. Après dix ans d'absence nous n'avons rien reconnu. Au départ nous croyions pourtant que rien n'avait changé car les vaches se promenaient toujours en liberté un peu partout

La "Poupée", qui nous a couté tant de sueur, est toujours là, mais tout autour tout est transformé.

Une promenade dans le village et dans le brouillard nous a confirmé la chose : nous sommes dans un autre endroit.





Lundi, 13 juillet

Après une nuit de repos ...

... et quelques jeux

la fin du séjour est arrivé et le retour inéluctable

Merci à tous pour ces souvenirs, et particulièrement merci à Vania pour ses leçons d'histoire.

JUILLET 2009 L'Olténie



Vendredi, 10 juillet

TIRGU-JIU : "les monastères d'Olténie''

La foi chrétienne orthodoxe est bien ancrée dans le cœur des roumains. Elle s'exprime dans la pierre par les nombreux monastères implantés dans le pays, notamment en Olténie.

Le monastère de Tismana
C'est devenu grâce à Saint Nicodim, le centre spirituel de l'Olténie à partir du XIVème siècle.

Ci-dessous vous pourrez voir ce qui nous attend dans le monde de l'au-delà, selon la foi orthodoxe de l'époque.


Le monastère de Lainici
Ce monastère est cher au cœur de nos amis,

JUILLET 2009 L'Olténie



Mardi, 7 juillet

BRAN et le château de Dracula

La route vers Bran nous a fait passer par Sinaia, une station climatique qui a été rendu célèbre par le roi Carol I qui y avait établi une de ses résidences : le château de Peles. Résidence que nous n'avons pas visité car il pleuvait à torrent.
Par contre nous avons fait un petit arrêt au monastère.

Le pays de Bran est surtout connu grâce au château de Dracula. Historiquement il n'y a aucun rapport entre Vlad Tepes, comte de Dracula et surnommé "l'empaleur", et Dracula bien connu des cinéphiles de séries B. L'auteur de ces romans de vampires ayant décidé de situé ses histoires dans les Carpates.


Mais à y regarder de plus prêt, je me demande si nous ne l'avons pas rencontré.

L'accueil en Roumanie est toujours aussi chaleureux et une invitation à déguster leurs spécialités à base de fruits ...


un bon repas s'imposait ...